Histoire de la ville de Jaffa

Aux origines de Jaffa

Les origines du nom de Jaffa ne sont pas très claires. Certaines théories s'appuient sur la tradition biblique, liant le nom de la ville à Japhet, l'un des fils de Noé, qui l'aurait reconstruite après le Déluge.

La mythologie grecque, quant à elle, fait de la ville de Jopa le décor du mythe d'Andromède. Dans cette histoire rocambolesque, une princesse fût enchaînée à un rocher pour être offerte en sacrifice à un monstre marin afin d'apaiser la colère de Poséidon, le dieu de la mer.

Ce qui est, par contre, clairement établi, c’est que Jaffa est une ville millénaire, dont l'histoire remonte à plus de 3 500 ans. C’est l'un des ports maritimes les plus anciens de la région et la ville est déjà mentionné à plusieurs reprises dans la Bible. Selon ce texte ancien, à l'époque du roi Salomon, le bois de cèdre du Liban utilisé pour la construction du Premier Temple de Jérusalem aurait transité par ce port avant d'être acheminé vers la ville sainte. C’est également du port de Jaffa que le prophète Jonas embarqua avant d’être avalé par un grand poisson.

L'histoire de Jaffa est marquée par une succession de périodes de prospérité et de déclin. Son récit est celui d’une ville marquée par des périodes de dominations égyptienne, romaine, musulmane, chrétienne, ottomane et aujourd'hui juive. Un condensé de l’histoire de la région en quelque sorte.

L’Antiquité à Jaffa

L'histoire antique de Jaffa est fortement influencée par les puissances égyptienne et romaine qui ont dominé la région.

 

1. La période égyptienne

La présence des Egyptiens à Jaffa, dès l’âge de bronze, est attestée par des éléments archéologiques :

  • Un papyrus datant de l’époque de Thoutmôsis III, célèbre pour ses nombreuses campagnes militaires qui ont étendu l'empire égyptien à son apogée, narre le récit de la « prise de Joppé» par les armées du Pharaon. Ce conte raconte comment le général égyptien a dissimulé ses soldats dans des jarres pour les faire entrer dans la ville fortifiée, une stratégie qui rappelle l'histoire du cheval de Troie. Si vous visitez un jour Londres, passer par le British Museum vous permettra de découvrir le fameux Papyrus Harris 500 (également connu sous le numéro de musée EA 10060).
  • Des fouilles archéologiques ont mis à jour les vestiges d’une porte de fortification construire sous le règne de Ramsès II. La reconstitution est visible lors de votre visite de Jaffa (la porte Ramsès II) et constitue une preuve matérielle de la présence égyptienne à Jaffa dans l’Antiquité.

Jaffa a servi de base militaire et administrative pour les Égyptiens. Les pharaons y maintenaient une garnison pour collecter les impôts des Cananéens locaux et pour s'assurer de la loyauté des cités-États de la région.

Le papyrus Harrys 500

2. La période romaine

Après sa conquête par le général Pompée (63 av. J.-C), la ville de Jaffa, alors connue sous le nom de Ioppé, passe sous domination romaine.

La période romaine de Jaffa est un mélange de violence et de développement. La ville a subi les conséquences brutales des guerres, mais elle a aussi prospéré en tant que port sous l'administration romaine, et son rôle a été déterminant dans l'essor du christianisme.

  • Lors de la “Grande Révolte juive”, la ville de Jaffa était devenue un bastion pour les rebelles qui menaient des raids contre les navires romains. Pour y mettre fin, le général romain Vespasien assiégea et détruisit la ville, massacrant une grande partie de sa population.
  • La ville fût ensuite reconstruite et prospéra à nouveau. Bien que Jaffa n’ait pas de grands monuments romains encore debout, les fouilles ont permis de documenter l’occupation de la ville et son évolution, notamment sa destruction et sa reconstruction après la Grande Révolte juive. Le centre d’accueil des visiteurs qui se trouve sous la place Kedumim permet de voir des fondations d’habitations et des traces d’urbanismes datant de l’époque romaine. Lors de fouilles de certains sites, comme l’ancien hôpital français, les archéologues ont également retrouvé une grande quantité d’objets datant de la période romaine, incluant des poteries, des récipients en pierre, des amphores et des jarres de stockage. Ces découvertes donnent des indications précieuses sur la vie quotidienne, le commerce et les habitudes de la population à cette époque.
  • La période romaine de la ville est également attestée par les premières marques du christianisme. L'un des épisodes les plus importants du Nouveau Testament a lieu à Jaffa. Selon les Actes des Apôtres, c'est dans la maison de Simon le tanneur que Saint Pierre a eu une vision qui l'a convaincu d'accepter les païens dans l'Église chrétienne.

La conquête musulmane

La domination romaine prend fin avec l'essor de l'Empire byzantin, qui a gouverné la ville jusqu'à la conquête musulmane. En 636, Jaffa est prise par les armées du Califat de Rashidun, marquant le début d'une longue période de domination musulmane. Au cours des siècles suivants, la ville passe sous le contrôle successif des califats Omeyyade, Abbasside et Fatimide, reflétant les conflits incessants pour le contrôle de la région.

La période des Croisades

Pendant les Croisades, les armées chrétiennes partent à la conquête de la Terre Sainte pour contester la domination musulmane, plongeant la région dans une période de chaos et de conflits qui s'étend sur deux siècles.

La ville de Jaffa se retrouve au cœur de ces luttes, changeant de mains à de multiples reprises. Elle est notamment reprise par Saladin après la bataille de Hattin en 1187, puis reconquise peu de temps après par le roi Richard Cœur de Lion.

Les vestiges des Croisés à Jaffa sont moins visibles que dans d'autres villes de la région comme Saint-Jean-d'Acre, car la ville a été détruite à plusieurs reprises. Cependant, des fouilles ont notamment mis au jour les vestiges des fortifications croisées, notamment au niveau de l'actuel Hôpital Français. Ces restes de murs et de douves témoignent de l'effort de fortification de la ville par Saint-Louis (le roi de France Louis IX) pour la rendre plus résistante aux attaques.

La destruction de Jaffa par les Mamelouks

Ce sont les Mamelouks qui mettent un terme à la présence des Croisés en Terre Sainte. Après des combats intenses, ils chassent les chrétiens de la région au XIIIème siècle et intègrent la ville dans leur califat. Et pour empêcher toute tentative de reconquête, les Mamelouks rasent la ville. Pendant la majeure partie de leur règne, Jaffa est restée un port en ruine, à l’abandon.

L’histoire de la ville de Jaffa est donc fort similaire à celle de Saint-Jean d’Acre ou Akko, capitale du Royaume de Jérusalem des Croisés.

L'influence ottomane (1515 - 1917)

L'arrivée des Ottomans, après des siècles de ruines sous les Mamelouks, a permis à Jaffa de renaître. Toutefois, la période ottomane a été marquée par un événement tragique : la campagne d'Égypte de Napoléon Bonaparte. C'est à Jaffa que se sont déroulés deux des épisodes les plus sombres de cette épopée militaire :

  • La prise de Jaffa et le massacre des prisonniers ottomans: Après avoir conquis Jaffa en 1799, plusieurs milliers de soldats ottomans sont fait prisonniers. Malgré la promesse d'épargner leurs vies, Napoléon ordonne leur exécution, faute de pouvoir les nourrir ou les surveiller.
  • L'abandon des soldats français malades : Vaincu lors du siège de Saint-Jean-D’Acre, Napoléon bat en retraite et repasse par Jaffa. Il laisse derrière lui les soldats de son armée gravement malades, notamment ceux atteints de la peste.

Ces deux épisodes sombres à Jaffa ne s'accordent pas avec le récit que Napoléon souhaitait construire. Pour réécrire l'histoire à son avantage et se présenter comme un chef bienveillant, Napoléon commanda le célèbre tableau "Les Pestiférés de Jaffa", aujourd'hui exposé au musée du Louvre.

L’arrivée des Juifs européens et le développement économique du XIXe siècle

Le XIXe siècle a été la période de l'âge d'or de Jaffa sous les Ottomans. Avec l’arrivée massive des Juifs européens, la ville redevient le principal port de la région, servant de porte d'entrée pour les pèlerins se rendant à Jérusalem, ainsi que pour le commerce international. Le développement agricole a été crucial :

  • Les célèbres oranges de Jaffa, de la variété Shamouti, ont commencé à être cultivées et exportées à grande échelle, faisant la renommée de la ville dans le monde entier.
  • Des usines produisent du savon, de l'huile d'olive et d'autres biens.

La ville se modernise et est prospère. En 1892, la première ligne de chemin de fer du Moyen-Orient, reliant Jaffa à Jérusalem, est inaugurée, renforçant le rôle de la ville comme centre névralgique de la région. Des consulats européens, des écoles et de nouveaux quartiers résidentiels voient le jour.

L'essor économique de Jaffa a bien évidemment attiré de nombreux travailleurs arabes venus de toute la région (Égypte, Syrie, etc.). Cet afflux de population étrangère est d'ailleurs aujourd'hui utilisé par les défenseurs de l'Etat hébreu pour affirmer que la plupart des Palestiniens ne sont en réalité pas des habitants de souche, un point de vue qui s'oppose au récit national palestinien.

La naissance de Tel Aviv et le déclin de Jaffa

La période ottomane de Jaffa se termine avec la Première Guerre mondiale et l'arrivée des Britanniques en 1917, qui marquera le début d'une nouvelle ère pour la ville et toute la région. L'arrivée massive des Juifs européens va venir bouleverser le rôle de Jaffa. Un groupe de Juifs décide de fonder un tout nouveau quartier en dehors de la ville en 1909: c’est le début de Tel-Aviv.

Le développement rapide de cette nouvelle ville, et notamment la construction d’un nouveau port au nord de Tel-Aviv, de nouveaux marchés (Hatikvah et Carmel), une centrale électrique (Reading) et une nouvelle gare routière, relègue Jaffa au second plan. Cette dernière subit un déclin rapide avant d'être officiellement fusionnée avec Tel-Aviv en 1950, donnant naissance à l'entité Tel-Aviv-Jaffa. Majoritairement arabe avant 1948, Jaffa devient majoritairement juive par la suite.

Et aujourd’hui?

Jaffa a longtemps été considérée comme le parent pauvre de la nouvelle métropole, réduite à son rôle de petit port de pêche. Ce n'est qu’au début des années 2000 que la municipalité a entrepris de la transformer en une destination touristique majeure. Autrefois négligée, Jaffa est devenu un lieu à la mode. La municipalité met en scène un riche passé et une coexistence soi-disant harmonieuse entre Juifs et Arabes. Une image de carte postale qui semble plaire aux touristes débarquant chaque jour par milliers dans la ville.

L’héritage des films bourekas : un miroir de la société israélienne

Les films bourekas: des comédies populaires cultes des années 60/70

Les films bourekas sont un genre de comédies populaires qui ont marqué le cinéma israélien des années 1960 et 1970. Pour un public français, on pourrait les comparer à des classiques comme La Grande Vadrouille ou La 7e Compagnie : des films à succès qui, malgré leurs budgets modestes, ont su traverser les générations et devenir des œuvres cultes.

Ces films racontent le quotidien des Juifs originaires du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord, souvent appelés Juifs mizrahis ou orientaux. Ils dépeignent leur vie en Israël, en mettant souvent en scène les tensions culturelles entre cette population et les Juifs ashkénazes, d'origine européenne. La particularité des films bourekas réside dans l'utilisation de stéréotypes. Les personnages mizrahis y sont souvent représentés de manière caricaturale : peu éduqués, avec une famille nombreuse, parlant l'hébreu avec un fort accent et parfois présentés comme paresseux. Ces clichés ont suscité de vives critiques, certains y voyant une forme de racisme. Cependant, il est important de noter que les personnages ashkénazes ne sont pas épargnés et sont eux aussi décrits de manière stéréotypée, souvent comme des intellectuels distants et froids.

les films bourekas: une succession de clichés

Cette approche stéréotypée fait des films bourekas un miroir de la société israélienne de l'époque et de ses conflits ethniques et de classes, le tout enveloppé dans une comédie populaire et accessible.

Ces films ont progressivement disparu des écrans à la fin des années 1970, à mesure que le cinéma israélien s'est tourné vers des sujets plus politiques et sociaux. Pourtant, leur importance historique est indéniable. Revoir ces œuvres aujourd'hui permet de saisir une facette de l'histoire israélienne souvent ignorée par la propagande de l'époque. Alors que le sionisme mettait en avant l'image d'un « nouveau Juif » idéal — patriote, travaillant la terre dans un kibboutz et incarnant des valeurs collectives — les films bourekas, malgré leurs clichés, brossaient un portrait bien différent. Ils mettaient en lumière la réalité des Juifs orientaux (mizrahis), souvent pauvres, peu éduqués et parqués dans des camps de transit.

Ces films ont donc eu le mérite, même de manière caricaturale, de révéler le profond clivage ethnique et social qui existait entre l'élite ashkénaze, éduquée et au pouvoir, et une population orientale marginalisée. Il est d'ailleurs révélateur que de nombreux films bourekas aient été réalisés ...par des ashkénazes, ce qui souligne le regard parfois condescendant et le mépris de classe qui imprégnait la société de l'époque.

L'incroyable succès de Sallah Shabati

L'histoire du premier film bourekas, Sallah Shabati, est une anecdote fascinante à elle seule. Lors de son avant-première, le film a été accueilli avec dédain par l'élite israélienne qui a jugé la qualité déplorable. L'événement a été perçu comme un échec total.

Pourtant, personne ne s'attendait à l'immense succès populaire qui allait suivre. En l'espace de quelques mois, 1,2 million d'Israéliens se sont précipités dans les salles pour voir le film. À une époque où le pays ne comptait que 2,5 millions d'habitants, cela témoigne de l'ampleur sans précédent du phénomène.

Ce succès a propulsé le film sur la scène internationale : Sallah Shabati a remporté le Golden Globe et a été nominé pour l'Oscar du meilleur film étranger.

Ironie de l'histoire, le rôle de Sallah Shabati, un Juif marocain typique du genre, a été interprété par l'acteur ashkénaze Chaim Topol, plus tard mondialement connu pour son rôle de Tevye dans Un violon sur le toit. Ce choix de casting illustre à quel point la représentation des Juifs orientaux à l'écran était, dès le début, filtrée par le regard de l'élite culturelle ashkénaze.

Quelle est la différence entre un Boureka et un Bourikita?

Les bourekas sont des petits feuilletés arrivés en Israël avec les Juifs sépharades de l'Empire ottoman. Ce qui semble déranger les Juifs du Maghreb qui, de leur côté, pensent dur comme fer que ces délices croustillants viennent de chez eux. Bref, le débat sur les origines du boureka est houleux et la discussion peut vite tourner à la dispute familiale.

Et pour en rajouter une couche, connaissez-vous la différence entre un boureka et un bourikita?

Quelle est la différence entre un boureka et un bourikita ?

Si vous ne connaissez pas la différence entre une boureka et un bourikita, c'est probablement que vous êtes ashkénaze.

Un boureka, c'est une pâte phyllo avec à l'intérieur du fromage, des pommes de terre ou des champignons. Et il peut prendre différentes formes. Alors que le bourikita, lui, ami ashkénaze, est une œuvre d'art à part entière. Oubliez la pâte phyllo générique ! Ici, on parle d'une pâte maison faite avec amour, garnie uniquement de pommes de terre et d'un soupçon de fromage. Et sa forme ? Invariablement un quart de lune. Un bourikita rectangulaire aux champignons ? Cela n'existe tout simplement pas dans le répertoire sacré du bourikita.

Ah, et si l'envie vous prend d'y glisser épinards et feta, sachez que vous ne parlerez plus de bourekas ni de bourikitas, mais de boyous.

Chez les Sépharades, la cuisine, c'est une affaire de nuance et de précision. 😉

Malgré nos recherches acharnées dans les moindres recoins de Tel-Aviv, des échoppes grecques aux turques, l'authentique bourikita reste introuvable. Il semblerait donc que, pour l'instant, vous devrez vous contenter de la version israélienne. C'est dommage, car la vraie, c'est une autre histoire !

Qu’est ce qu’un Boureka?

Un boureka est le cousin local du börek turc et du bourikita judéo-espagnol. Les bourekas ont été importés en Israël depuis l'Empire ottoman par les Juifs sépharades vivant en Turquie et dans les Balkans. Ce petit en-cas est très vite devenu un élément fondamental de la gastronomie israélienne, impossible de l'éviter ! Vous le trouverez partout : des boulangeries aux épiceries, en passant par les supermarchés et les marchés en plein air (les fameux shouks). Il est l'équivalent d'un bagel pour les Ashkénazes : un incontournable servi à toutes les occasions.

La recette d'un Boureka

Le boureka est préparé avec une pâte très fine et feuilletée, souvent similaire à la pâte phyllo, ce qui lui confère une texture croustillante et dorée à l'extérieur.

A l’intérieur on y trouve généralement du fromage, des épinards, des champignons et/ou des pommes de terre.

Le guide ultime pour dénicher le meilleur boureka

Alors, où se cache le meilleur boureka de la ville ? Pour le découvrir, ça commence par quelques règles d'or pour ne jamais être déçu :

  • L'ennemi juré : l'industriel ! La première règle d'or est simple: fuyez les bourekassim industrielles comme la peste ! L'huile utilisée pour leur fabrication est de piètre qualité et franchement pas terrible pour la santé (acide gras saturé). Bref, évitez la tentation d'en acheter au supermarché.
  • L'artisanale, une valeur sûre ! Bonne nouvelle : la plupart des petites échoppes qui préparent leurs bourekassim de manière artisanale sont excellentes. Il est presque impossible d'être déçu par un boureka faite dans les règles de l'art. La différence vient souvent de l'histoire du commerçant lui-même, pas du boureka. Certains, comme ceux du Shuk Levinsky à Tel-Aviv, sont là depuis des générations, bien avant la création de l'État d'Israël. Manger leur boureka, c'est croquer un morceau de l'histoire des Juifs séfarades mais à la sauce israélienne.
  • Le secret des formes : Depuis quelques années, un "code" de cacherout a été mis en place pour distinguer les garnitures rien qu'à la forme : le triangle, pour ceux aux fromages, le rectangle, pour ceux aux pommes de terre et le torsadé pour ceux aux épinards. Il y a même des formes cylindriques pour un goût pizza. Mais là, avouons-le, les Israéliens commencent à pousser le bouchon un peu loin, non ? 😉

Alors, prêt à partir à la chasse au boureka parfait ?

Les deux accompagnements indispensables

Pour sublimer votre boureka, deux accompagnements sont de rigueur et font toute la différence :

  • L'œuf Haminado : C'est un œuf dur à la saveur unique, cuit lentement pendant des heures, souvent avec la peau d'oignon ou du café, ce qui lui donne une couleur brune caractéristique et une texture fondante. Un classique indissociable du boureka !
  • Le Shougg (ou Skhug) : Une sauce tomate épicée et relevée, pleine de saveurs méditerranéennes. Elle apporte un coup de peps et un contraste délicieux avec le côté feuilleté et salé du boureka.

Ces deux éléments transforment un simple boureka en un véritable repas, riche en traditions et en saveurs !

Qu'est-ce qu'un film bourekas?

A) Un film qui explique comment manger proprement un boureka

B) Un film que l’on regarde en famille en mangeant des bourekas

C) Un genre de comédie populaire en Israël des années 60/70

La réponse

Le Grand Quiz des Champions !

Préparez-vous à tester vos connaissances et à affronter les meilleurs. C'est l'heure de prouver que vous êtes un véritable champion !

Qu'est-ce que l'affaire Lillehammer?

  • A) Un scandale sexuel impliquant Benjamin Netanyahu et sa secrétaire
  • B) Une des plus grosses bévues du Mossad
  • C) Une affaire de dopage d'un skieur israélien lors des JO d'hiver de 1976
  • D) L'oubli des codes nucléaires par David Ben Gourion dans un train

La réponse

Le drame de l'Altalena

La destruction du bateau Altalena est un événement tragique et controversé de l'histoire d'Israël. Mais qui en est le principal responsable ?

Le choix qui a failli déclencher une guerre civile en 1948 est-il celui de :

A) Menachem Begin, qui a refusé de remettre toutes les armes de son groupe paramilitaire, l'Irgoun, à la nouvelle armée israélienne.

B) David Ben Gourion, qui a ordonné à Tsahal, l'armée naissante, de tirer sur le navire, faisant des victimes parmi ses passagers.

C) Les Britanniques, qui, en tant que puissance mandataire, ont coulé le bateau pour empêcher l'immigration illégale.

La réponse

🧩 L’énigme du port éternel

Je suis plus vieille que Tel-Aviv,
J’ai vu passer les Phéniciens, les Romains, les Ottomans.
Mon nom rime avec légendes et oranges.

Aujourd’hui, je suis un quartier vivant,
Où l’ancien dialogue avec le moderne.

Qui suis-je ?

La réponse

Qu'est-ce qu'un "café botz"

A) Un type de café glacé très populaire en Israël

B) Un café long et noir, similaire à un americano.

C) Un café turc, très fort et épais, souvent consommé en Israël.

D) Une chaîne de cafés très répandue en Israël.

La réponse

Qu'est-ce qu'un film bourekas?

A) Un film qui explique comment manger proprement un boureka

B) Un film que l’on regarde en famille en mangeant des bourekas

C) Un genre de comédie populaire en Israël des années 60/70

La réponse

Les canons de Jaffa

Ils ont été placés par un général (devenu Empereur) célèbre qui séjourna pendant un temps à Jaffa le temps de conquérir la région avec son armée.

Mais qui est cet empereur?

  • Jules César
  • Napoléon Bonaparte
  • Flavius Valerius Aurelius Constantinus (dit Constantin 1er)

La réponse

Qui est Joseph Trumpeldor?

A) Le cousin germain juif de Donald Trump

B) Le cousin germain juif d'Albus Dumbledore.

C) Un scientifique renommé en physique nucléaire qui a découvert la Bombe.

D) Un héros national

La réponse

Mais qui est Baruch Mizrahi?

A) Le buteur de l'équipe israélienne de football

B) Un agent du mossad

C) Le grand rabbin ashkénaze d'Israël

D) Le célèbre vendeur de schnitzel de la rue Levinsky.

La réponse

Qu'est-ce qu'un boureka?

A) Une boisson chaude épicée à la cardamone

B) Le snack préféré des Israéliens

C) Un plat principal à base de riz

D) Un dessert sucré

La réponse

Qui est Haïm Arlozoroff?

A) Un expert en claquettes, champion du monde 1928 à Tel-Aviv.

B) Un leader sioniste, économiste et politique, hélas assassiné en 1933 à Tel-Aviv, laissant un gros mystère.

C) L'inventeur du "pita-burger", le fast-food originel, jamais crédité.

D) Le premier à avoir réussi à faire tenir un chat sur une planche de surf. (Spoiler : l'exploit fut de courte durée.)

La réponse

Quel est le fruit le plus célèbre de Jaffa?

A) L'orange

B) Le pomélo

C) La pastèque

D) Le citron

La réponse

Le saviez-vous? Le mini-scandale du T-shirt Trumpeldor

Joseph Trumpeldor, un héros israélien mort au combat en 1920, avait perdu un bras sur le champ de bataille. Il était facilement reconnaissable par cette caractéristique. Un scandale a éclaté il y a quelques années de cela quand une chaîne de vêtements a sorti un débardeur « Trumpeldor » sans bretelle à l'épaule gauche. La marque s'est excusée et a retiré le vêtement.

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